Si tôt publié, si tôt saisi !
On emprisonne, on libère,
On emprisonne, on libère,
On emprisonne, on libère,on emprisonne, on libère,
L'organisation de défense des journalistes, basée à Paris, avait estimé que la détention du journaliste "n'est qu'un moyen utilisé par les autorités rwandaises pour réduire au silence la presse indépendante d'opposition".
Umuseso : Mbonigaba libre ______________________________________________________
Confondre l'outil avec son emploi
Libéralisation de l'audiovisuel rwandais
La presse accusée de génocide
Après l'entrée en vigueur de la loi autorisant les radios et télévisions
privées au Rwanda, les rwandais "ont le regard tourné" vers cette
presse privée qui viendrait complèter le service public (gouverne-mental). Lors de la promulgation de cette sur l'audiovisuel privé l'an dernier,
l'ancien ministre de l'intérieur et des affaires sociales Désiré Nyandwi
qui avait l'information dans ses attributions a annoncé à la presse que
les promoteurs de médias privés auront l'autorisation de commencer à
opérer en juillet de cette année (2003, Traduction RR, 11/02/03)
Radio et Télés Privées ______________________________________________________
"Liberté" de la Presse et "Multipartisme"
Le directeur du journal indépendant Umuseso serait poursuivi pour une
caricature parue dans "Umuseso", édition du 13 janvier 2003. Sur le
dessin, le président Kagame est comparé au roi Salomon, avec dans
ses mains un bébé et une épée. Le bébé représente le parti MDR.
Kagame est invité à administrer la justice entre deux groupes: l'un
dirigé par Emmanuel Twagirumukiza (chef de file pro-régime),
réclamant la "mise à mort" de l'enfant disputé, et l'autre...
I. Mbonigaba d'Umuseso
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